Dans la matinée du 14 juin 2022, la direction nationale des Œuvres Pontificales Missionnaires au Bénin s’est rendue au Noviciat Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus d’Abomey-Calavi sur invitation de la Sr Paulette DOHIN, maîtresse des novices, pour une séance de formation. Durant tout le déroulement de cette formation, les novices des Sœurs OCPSP ont eu la chance d’être formées sur deux thèmes de grande importance : ‘’La pastorale missionnaire et les OPM’’ et ‘’Bienheureuse Pauline Jaricot et l’œuvre de la Propagation de la Foi’’. Le peu de temps partagé a permis aux novices de faire des expériences sur le rôle de pasteur, de connaître qui est Pauline et de savoir ce que sont que les OPM. Cette séance de formation et d’animation a été faite par la Sœur Micheline TOWANOUN, secrétaire nationale de l’Enfance Missionnaire et le Père Cosme Tayéwo ADJOMALE, directeur national des OPM.
Lyon: Béatification de Pauline Jaricot, le Directeur National des OPM au BÉNIN dévoile ses sentiments.
Juste après la messe de béatification de Pauline Jaricot, le Directeur National des OPM au BÉNIN, Père Cosme Tayéwo ADJOMALE, s’est exprimé pour dévoiler ses sentiments.
« Bonsoir, chers lecteurs, chers auditeurs de votre site web
Mes sentiments au terme de l’assemblée générale des OPM qui s’est ouverte le 16 mai et qui sera clôturée demain 23 mai avec la béatification de Pauline Jaricot aujourd’hui, sont vraiment bons. Je rends grâce à Dieu. C’est de lui que vient toute gloire.
Comment faire pour que la mission devienne quelque chose de « partagé » par tous ? Telle a été l’idée qu’avait Pauline. Ce n’est pas comme si tout allait sur des roulettes. Elle a connu beaucoup de souffrances. Et le rosaire vivant ayant marché, la collecte pour les missions ayant marché, elle a voulu se lancer dans ce qu’on appelle communément redorer le blason de la classe ouvrière. Mais cela n’a pas marché parce que Pauline a été roulée dans la farine et donc elle a tout perdu.
Elle a tout perdu et a vécu la souffrance, même dans son sens premier à la fin de sa vie. Mes sentiments sont encore de bons sentiments, de joie, les sentiments de reconnaissance. Car le Seigneur s’est servi de sa servante comme il se sert de chacun de nous pour aller de l’avant. Je rends grâce à Dieu que tout se soit bien passé pour la délégation qui m’accompagne aussi. Vous avez vu comment le drapeau du Bénin a flotté. Je l’ai voulu et Dieu m’a aidé. Et tout s’est bien réalisé. Je parle ici des secrétaires nationaux : Père Patrick BIO, secrétaire National de l’œuvre de Saint Pierre et Sœur Micheline TOWANOU, secrétaire nationale de l’Enfance Missionnaire. Tous sont présents ici et ont vu.
Nous souhaitons qu’il y ait des retombées de cette assemblée générale. La grâce de Pauline Jaricot dans tous les sens pour le bonheur des OPM au Bénin. Nous allons continuer à prier et à prendre Pauline Jaricot comme un modèle que l’Église nous propose. Ma prière est que tous, comme baptisés, au Bénin retrouvent leur conscience missionnaire et deviennent des envoyés, des missionnaires pour aller de l’avant et travailler comme Pauline Jaricot.
Et je voudrais dire, comme cela se dit aujourd’hui dans le diocèse de Djougou, « avec Jésus et sa Sainte Mère, soyons tous Missionnaires. »
Lyon : Qui est Mayline Tran, la jeune fille à l’origine de la béatification de Pauline Jaricot ?
Pauline Jaricot, fondatrice de l’œuvre catholique de la Propagation de la Foi, sera béatifiée le 22 mai à Lyon. A l’origine de cette béatification : Mayline Tran, une enfant dont la survie a été reconnue comme miracle par l’Eglise
Miraculeuse, Mayline Tran l’est forcément. A voir cette jolie adolescente de 13 ans échanger des sourires complices avec ses parents, on se dit qu’on lui donnerait le bon Dieu sans confession. Sauf que Dieu, semble-t-il, s’est déjà penché sur elle. C’est ce qu’avance l’Eglise, ainsi que les fidèles de Pauline Jaricot, cette Lyonnaise qui sera béatifiée à Eurexpo le 22 mai, et dont l’intercession est invoquée pour expliquer que Mayline soit en vie aujourd’hui.
Ce mercredi, Mayline et ses parents sont venus à l’église Saint-Polycarpe (Lyon 1) présenter le livre racontant son histoire. La jeune fille ne souhaite pas s’exprimer directement aux médias, pour éviter des débordements sur les réseaux sociaux. Alors c’est son père, Emmanuel, auteur du livre, qui raconte comment, un soir de 2012, sa fille alors âgée de 3 ans s’est étouffée avec une petite saucisse. « Elle a fait un arrêt cardiorespiratoire, je lui ai fait un massage cardiaque en attendant les secours. A l’hôpital, elle a fait plusieurs autres arrêts, et une embolie pulmonaire, avant de tomber dans le coma. Dix jours après, les examens étaient désastreux : son cerveau avait cessé de fonctionner. Tout s’écroulait », raconte-t-il, encore très ému.
Un état jugé irréversible
Le corps médical finit par annoncer l’arrêt imminent des soins de l’enfant, dont l’état est jugé irréversible et sans espoir. Les parents refusent. « Pendant ce temps, la mère d’une camarade d’école de Mayline a lancé une neuvaine, une prière durant neuf jours adressée à Pauline Jaricot », poursuit Emmanuel Tran, qui avoue avoir lui-même ressenti certains signes inexplicables à l’époque. Contrairement à son épouse, Nathalie, il n’était pas pratiquant.
La famille, qui vivait alors dans le Beaujolais, déménage à Nice où les Tran avaient prévu d’ouvrir un restaurant. Et là, presque du jour au lendemain, l’état de Mayline s’améliore. Elle ouvre les yeux : ses parents y décèlent de la vie, là où autrefois, ce réflexe neurologique ne leur montrait qu’un noir de néant. « Nathalie m’a alors dit : elle est là elle est revenue. Même s’il y avait encore des moments d’absence, son état s’améliorait rapidement. Et un jour, elle s’est tournée vers mon épouse, et elle a dit : « Maman »… »
Aucune séquelle, aucune explication médicale non plus
Un médecin était présent dans la chambre à ce moment précis. Ni lui, ni le reste de la communauté médicale n’ont pu expliquer ce rétablissement spectaculaire. Très vite, Mayline a pu se lever, marcher, reprendre sa vie sans aucune séquelle. Alors a commencé le long parcours de la reconnaissance du miracle. Un long « procès », comme on l’appelle, et qui s’est terminé il y a deux ans par la validation du pape François. « Nous, on avait vécu notre miracle depuis longtemps », sourit Emmanuel Tran. « Depuis, on a fait en sorte que Mayline ne se sente pas différente. Surtout, qu’elle ne soit pas cataloguée de folle. On l’a protégée au mieux. »
Lui-même a progressé dans son chemin de foi. « Nous sommes des personnes normales dans un monde à peu près normal », ajoute-t-il. « On peut se sentir dépassé, mais pour moi, l’important, c’est de faire comprendre que les miracles existent. On a du mal à le croire, comme moi par le passé, on a tous des doutes. C’est énorme, on le gère comme on peut, mais au final le message est très beau : tout le monde peut en bénéficier. »
Mayline écoute le récit de son père. Lorsqu’il termine et retourne s’asseoir près d’elle, elle lui adresse ses deux pouces levés. Une ado enjouée, tout à fait normale : miraculeuse, donc.
Source : 20 minutes
Qui est Pauline Jaricot ?
Histoire de Pauline Jaricot
Pauline JARICOT est née à Lyon, le 22 juillet 1799, dans une famille de soyeux lyonnais, profondément attachée à l’Eglise. Et c’est dans sa famille qu’elle entend parler des hauts faits des missionnaires. Sa vie s’écoule au cœur de Lyon, entre les paroisses de Saint Nizier et Saint Polycarpe, puis au pied de la chapelle Notre-Dame de Fourvière.
Elle connaît une enfance heureuse, imprégnée de l’affection et de la foi vive de ses parents et de ses frères et sœurs aînés. Les visites au St Sacrement et la Communion fréquente lui permettent très tôt une intimité avec le Seigneur. A l’adolescence, elle aime les plaisirs, les mondanités, l’élégance et se détourne de Dieu, lorsqu’un sermon de l’abbé Wurtz sur la vanité la bouleverse et va provoquer en elle une véritable conversion intérieure. Elle a alors 17 ans, et elle décide de consacrer toute sa vie au Seigneur . Elle se confesse, abandonne ses bijoux, s’habille comme une ouvrière. Noël 1816, elle fait vœu de chasteté dans la Chapelle de la Vierge de Fourvière à, tout en restant une laïque car qu’elle réalise qu’elle n’a pas la vocation religieuse.
Sa vie ne sera plus désormais qu’une longue montée vers Dieu. Elle puisera sa force dans la prière, l’Eucharistie, pour entreprendre ses multiples actions charitables, universelles, sans distinction de personnes. Âme de Feu, femme d’action, apôtre inlassable, elle prendra des initiatives audacieuses pour le service de l’évangélisation, pour une plus grande justice sociale, tout en redonnant, le goût de la prière. À la suite d’un appel intérieur en 1817, elle décide d’aider les pauvres et ceux qui souffrent. Pour cela Pauline recrute parmi les ouvrières de son quartier, des jeunes filles partageant son enthousiasme et fonde un groupe informel « Les Réparatrices du cœur de Jésus méconnu et méprisé ».
C’est alors qu’elle apprend par son frère Philéas, séminariste à Saint-Sulpice, que les Missions étrangères de Paris ont de sérieuses difficultés financières. Pour récolter de l’argent, Pauline et ses Réparatrices fondent une association structurée en dizaines, centaines et mille, chacun devant donner un sou par semaine pour la propagation de la foi chrétienne. C’est en 1822 que cette association devient officiellement la Propagation de la Foi, devenue aujourd’hui les Œuvres Pontificales Missionnaires. À la fin du xixe siècle, l’œuvre sera présente dans tous les pays de la Chrétienté. Ainsi Pauline Jaricot contribue au renouveau missionnaire. Entre 1819 et 1820, avec quelques amies parmi les ouvrières ou des proches, réunis par une vie de prière et d’actions charitables, elle imagine une collecte faite de la main à la main. C’est ‘le sou de Pauline’ afin de recueillir les fonds nécessaires pour des missions. Elle met en pratique un plan basé sur le système décimal : des groupes de 10 personnes, chaque personne formant à son tour un autre groupe de 10 et ainsi de suite. Ce système s’étendra rapidement dans le monde et deviendra l’Association de la Propagation de la Foi, créée le 3 Mai 1822. En 1826, en réponse au Pape qui avait indiqué la défection de la France pour le Rosaire, Pauline Jaricot fait naître le Rosaire Vivant. Elle adopte un moyen analogue à celui de la Propagation de la Foi : 15 personnes, 15 mystères (aujourd’hui 20 mystères depuis que le Pape Jean- Paul II a ajouté les Mystères Lumineux) ; chaque associé récite une dizaine de chapelet en méditant un des mystères de la vie de Notre-Seigneur, avec l’intercession de Marie ; ce mystère est tiré au sort par une « zélatrice » responsable du groupe. Le Rosaire Vivant se répandra dans le monde entier jusqu’à nos jours. En 1835, avec le prêt de la somme correspondante donnée par un pieux notaire elle acheta le domaine « sis 24 montée Saint-Barthélemy »
Sérieusement malade du cœur, elle décide d’aller en pèlerinage à Mugnano, sur la tombe de sainte Philomène dont le culte restait encore controversé. Elle est d’abord reçue à Rome par le pape Grégoire XVI et lui demande si, au cas où elle reviendrait guérie, ce serait un miracle suffisant pour faire avancer la cause de la sainte. Le souverain pontife répond que oui, persuadé qu’il a affaire à une mourante et qu’il ne faut pas lui refuser cette consolation, comme il le confie en italien à des religieuses présentes.
Elle arrive à Mugnano après un voyage épuisant dans la chaleur du mois d’août. C’est la veille de la fête de la sainte et la foule des pèlerins se presse ; le lendemain, elle communie et défaille : on la croit morte mais elle reprend ses esprits et demande qu’on la porte jusqu’au tombeau de la sainte, et c’est alors qu’elle se trouve miraculeusement guérie. Après avoir passé quelques jours à Mugnano en prières de remerciements, elle retourne à Rome où le pape approuve son œuvre et lui donne sa bénédiction.
Le Curé d’Ars se serait alors écrié : « Ah !, mes frères, je connais, moi, une personne qui sait bien accepter les croix, des croix très lourdes, et qui les porte avec un grand amour. C’est Mlle Jaricot ».
En 1845, Pauline envisage de mettre en œuvre un plan évangélisation de la classe ouvrière. Elle achète une usine pour en faire un modèle d’esprit chrétien. Un bâtiment attenant loge les familles et à côté se trouvent une école et une chapelle. Mais mal conseillée et ayant confié la gestion à une personne malhonnête, très vite l’œuvre périclite . Elle engloutit toute sa fortune et passera le reste de ses jours dans la plus grande pauvreté, quêtant pour rembourser ses dettes. Ce sera son long chemin de Croix. En 1861, la maladie de cœur s’aggrave. Son union intime avec le Seigneur et son effacement humble lui permettront un acte de profond pardon. « Une pauvre qui n’a que Dieu seul pour ami, Dieu seul pour soutien…mais Dieu seul suffit ». Le 9 Janvier 1862, Pauline Jaricot meurt dans la misère et l’indifférence générale. Elle fut inhumée dans le caveau familial, au cimetière de Loyasse, avant que sa dépouille ne soit transférée en 1922 dans l’église Saint-Nizier, près de l’autel de la Vierge dans le transept sud. Quant à son cœur, il se trouve dans l’église Saint-Polycarpe.
C’est le 18 juin 1930 que Sa Sainteté Pie XI introduisait la cause de béatification de Pauline-Marie Jaricot, fondatrice de l’Œuvre de la Propagation de la Foi
Le pape Jean XXIII la déclare vénérable en 1963. Sa mémoire est fixée au 9 janvier.
A la suite de Pauline Jaricot qui a nourri son énergie pour le service de l’évangélisation dans l’union à Dieu, elle nous engage à l’action, puisée dans la contemplation, dans l’intimité avec le Christ, et dans l’Eucharistie.
Enquête sur les vertus
C’est le 18 juin 1930 que Sa Sainteté Pie XI traçait le Placet Achilleo au bas du document qui introduisait en Cour de Rome la cause de béatification de Marie Pauline Jaricot, fondatrice de l’Œuvre de la Propagation de la Foi[10].
En 1963, le pape Jean XXIII reconnaît l’héroïcité de ses vertus et la déclare vénérable.
Le diocèse de Lyon a fait savoir le 1er octobre 2021 qu’elle serait proclamée « Bienheureuse » le 22 mai 2022.
Reconnaissance d’un miracle
Au cours de l’année 2012, année jubilaire de Pauline Jaricot (pour le cent cinquantième anniversaire de son décès), la petite Mayline Tran, âgée de trois ans, perd connaissance à la suite d’un étouffement lié à un mauvais transit de nourriture. L’enfant, hospitalisée dans un état désespéré après une asphyxie et un arrêt cardiovasculaire de vingt minutes, est considérée comme perdue. Malgré l’arrêt des traitements par les médecins, la famille refuse l’arrêt de l’alimentation artificielle. Une neuvaine à Pauline Jaricot est récitée. Peu après, la petite fille se réveille mais avec un état cérébral très dégradé, ouvrant à un pronostic d’état végétatif sans espoir. Pourtant, elle connaît contre toute attente une guérison totale[11].
Une enquête diocésaine sur la guérison présumée a été instruite auprès du Tribunal ecclésiastique de l’archidiocèse de Lyon du 20 juillet 2018 au 28 février 2019, dont les actes ont été déposés à la Congrégation pour la cause des saints. Le dossier a été transmis à la commission médicale, qui a validé le caractère inexplicable de la guérison.
Le 26 mai 2020, le pape François reconnaît authentique la guérison attribuée à l’intercession de Pauline Jaricot, ouvrant la voie à sa béatification[12]. Le 4 octobre 2021[13], le secrétaire général des Œuvres pontificales missionnaires annonce officiellement que Pauline Jaricot sera solennellement proclamée bienheureuse le 22 mai 2022 lors d’une Messe célébrée par le cardinal Luis Antonio Tagle à l’Eurexpo de Lyon.
Culte
Afin de faciliter l’accès des fidèles à sa tombe, sa dépouille est exhumée du cimetière de Loyasse en 1922, et transférée dans l’église Saint-Nizier, près de l’autel de la Vierge dans le transept sud. Quant à son cœur, il se trouve dans l’église Saint-Polycarpe.
Sources :
-Vatican News
-Nominis
– https://paulinejaricot.opm-france.org/
-https://lyon.catholique.fr/
Prix Pauline Jaricot : 3 millions 230 mille 575 F CFA plus un voyage à Gagner
Toutes les paroisses catholiques des diocèses du Bénin sont invitées à participer.
A l’occasion de la béatification de Pauline Jaricot le 22 mai 2022 à Lyon, missio offre pour la première fois le prix du même nom. Le prix récompense des femmes d’Afrique, d’Asie ou d’Océanie qui, dans une attitude de charité, innovent pour soutenir et encourager les autres. Des femmes aussi visionnaires et innovantes que Pauline Jaricot. Le gagnant reçoit un prix de 5 000 euros et est invité à la cérémonie de remise des prix à Aix-la-Chapelle.
Application
Connaissez-vous des femmes d’Afrique, d’Asie ou d’Océanie qui témoignent chaque jour avec courage de leur foi et traversent les frontières par leur implication dans l’Église, la politique ou la société ? Alors proposez cette femme ou ce groupe de femmes pour le Prix Pauline Jaricot. Toutes les paroisses catholiques, les associations et leurs subdivisions ainsi que toutes les autres initiatives et groupes ecclésiaux sont habilités à proposer.
Comment ça fonctionne?
1. Remplissez le formulaire de demande (PDF) » .
2. Répondez aux questions suivantes de manière informelle :
L’engagement des nominés inclut-il des approches tournées vers l’avenir pour une église libératrice ?
La candidate partage-t-elle sa foi avec les autres d’une manière qui encourage les gens à développer leur potentiel et qui promeut et maintient le bien commun, la qualité de vie et la participation équitable ?
Est-ce que le nominé, les nominés rassemblent des gens qui changent le monde par charité ?
L’engagement des candidats est-il conçu pour poursuivre leur mission ?
Depuis combien de temps êtes-vous en relation avec le(s) candidat(s) et comment cela s’est-il passé ? Quelle est votre coopération ?
3 . Envoyez votre candidature à missio eV, Pauline-Jaricot-Preis, Goethestraße 43, 52064 Aachen ou à paulines.schwestern@missio-hilft.de avant le 31 mai 2022
4. La cérémonie de remise des prix aura lieu le Dimanche missionnaire mondial, le 23 octobre 2022.
Toutes les informations se trouvent dans la boîte de téléchargement.
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Organisé par Missio.de

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Vos interlocuteurs pour le Prix Pauline Jaricot vous répondent en Allemand.
Silke Schlösser et Christoph Tenberken sont heureux de vous aider.
Téléphone : +49 (0)241 / 75 07 – 215 et -333
E-mail : paulines.schwestern@missio-hilft.de
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